we specifically chose a targeted selection to find out why they got different answers, and the easiest way to do so was to select the most visible contrarian papers ... Our hypothesis was that the chosen contrarian paper was valid, and our approach was to try to falsify this hypothesis by repeating the work with a critical eye.
If we could find flaws or weaknesses, then we would be able to explain why the results were different from the mainstream. Otherwise, the differences would be a result of genuine uncertainty.
After all this, the conclusions were surprisingly unsurprising in my mind. The replication revealed a wide range of types of errors, shortcomings, and flaws involving both statistics and physics.
Benestas souligne aussi que les auteurs de ces études étaient dans l’ensemble des néophytes dans le domaine de la climatologie, ce qui explique leur manque de perspective et leur ignorance de la science établie. Ceci n’est pas surprenant puisque plusieurs chercheurs « climato-sceptiques » sont les mêmes qui ont semé le doute sur le lien entre le tabac et le cancer du poumon et se sont immiscés dans de nombreuses controverses scientifiques pour défendre les intérêts des grandes corporations.
Cet article du Guardian présente les grandes lignes de cette analyse. Un élément particulièrement intéressant qui y est soulevé est qu’aucun des auteurs étudiés n’offre la même explication pour le réchauffement de la planète et qu’ils se contredisent souvent entre eux (quand ce n’est pas eux-mêmes). Ce n’est sans doute pas très grave si l’objectif est simplement de semer le doute...
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